Au delà de ses obligations envers ses principaux salariés, une entreprise se doit de fournir une fiche de paie mensuelle si les travailleurs sont payés au mois, ou périodique selon le cas. . On attribue ce document comme la preuve irréfutable que l’employé a bien touché sa paie. Mais il s’agit aussi d’un support administratif important. C’est pourquoi, il s’agit de le rédiger conformément à la règle. On vous met tout de suite sur la piste pour comprendre.
Aujourd’hui, établir une fiche de paie, devient une opération simple et accessible. Sur KarotPay il suffit de s’inscrire pour imprimer dans la seconde son bulletin. Cette méthode est une belle alternative pour les entreprises. C’est en premier lieu, un moyen efficace de faire des économies, mais, c’est également faire un véritable gain de temps, en visant à réduire les tâches de l’entreprise. Editer une fiche de paie en ligne, c’est obtenir un résultat impeccable, une présentation soignée, bien détaillée sur les informations importantes. Il existe des modèles personnalisables qui répondent à toutes les attentes des nouvelles entreprises, quel que soit le domaine d’activité. On peut dire adieu aux logiciels compliqués.
Calcul à partir des valeurs imposables
Il convient de rassembler les éléments qui permettent de régulariser avec précision le salaire de l’employé pendant son mois de travail, c’est-à-dire, établir un calcul en fonction des compétences, des absences, mais aussi des heures majorées. Puis, on considèrera le type de contrat de travail, les conventions collectives régies par les lois en vigueur.
On n’oublie pas les charges sociales, qui sont réduites à partir du salaire. Ces cotisations concernent l’assurance, la sécurité sociale, l’assurance chômage…
Les cotisations patronales figurent sur le document, toutefois, les charges ne concernent que l’entreprise uniquement, ce sont des informations relatives aux allocations familiales, à la sécurité sociale, et au fond d’aide. D’autre part, les contributions salariales sont attribuées aux salariés. Il s’agit de la CSG et CRDS, qui se rapportent à la sécurité sociale. Le bulletin doit en effet comprendre deux colonnes dont le taux salarial et le taux patronal, à ces valeurs s’ajouteront enfin les taxes sur les salaires, ou les taxes de construction.
Du brut au net
On se perd encore sur comment obtenir la valeur net, à partir du montant brut. La première chose est de considérer le net fiscal. On prélève les cotisations du salaire brut grâce à une valeur qui approche les 23%.
Puis on obtient le salaire net avant impôt. Il faut soustraire du net imposable les retenues diverses telles que les indemnités transport, CSG ou CRDS.
Le salaire net à payer c’est le salaire qui est finalement versé sur le compte bancaire du salarié. On a les chiffres en déduisant le montant du prélèvement à la source du salaire net avant impôt.
En revanche, il convient de prendre en compte la SDN, et cela, en effectuant les déclarations sociales auprès des organismes sociaux.
Lorsqu’un salarié part, la paie sert à calculer le solde tout compte, avec le certificat de travail livré avec.
